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2025-11-04 : La Suède a développé des « arbres liquides » en cuves — produisant autant d’oxygène que 100 arbres dans un seul mètre cube 🌲
Des scientifiques serbes, en collaboration avec des urbanistes suédois, ont créé le LIQUID 3, un photobioréacteur contenant des microalgues capables de réaliser la photosynthèse 10 à 100 fois plus efficacement que les arbres, par mètre carré.
Chaque cuve produit autant d’oxygène qu’un acre de forêt, tout en n’occupant qu’une place de stationnement.
Les algues absorbent également le CO₂, filtrent les polluants atmosphériques et génèrent une biomasse réutilisable pour produire du biocarburant.
Contrairement aux arbres qui nécessitent des décennies pour atteindre leur maturité, les cuves à algues offrent une purification maximale de l’air immédiatement.
Les villes à espace limité peuvent ainsi les installer dans des zones polluées où les arbres traditionnels ne survivent pas.
Ces réservoirs intègrent également des bancs et des panneaux solaires, les transformant en mobilier urbain multifonctionnel.
Belgrade en a déjà installé 20 unités à titre de preuve de concept, et la Suède prépare la production à grande échelle pour les villes nordiques, où les hivers rigoureux détruisent souvent la végétation classique.
👉 Cette biotechnologie ne vise pas à remplacer les arbres, mais à compléter leur rôle pour améliorer rapidement la qualité de l’air urbain.
Source : Université de Belgrade & Institut suédois de recherche environnementale, 2024–2025
2025-09-04 : L’intelligence artificielle ne se limite plus à écrire du code ou à générer du texte — elle invente désormais de nouveaux matériaux. Des scientifiques ont récemment annoncé que l’IA avait conçu un matériau révolutionnaire, plus résistant que l’acier mais plus léger que la mousse. Un tel matériau pourrait transformer des secteurs allant de l’aéronautique à la construction, en offrant des rapports résistance/poids sans précédent.
Le système d’IA a analysé des millions de structures moléculaires potentielles, simulant rapidement des propriétés qu’il aurait fallu des décennies aux chercheurs humains pour tester. Le résultat est un matériau capable de réduire considérablement la consommation de carburant des avions, d’améliorer la sécurité des voitures et de permettre la construction de bâtiments à la fois ultra-solides et légers. Ses applications potentielles s’étendent même aux implants médicaux, aux équipements sportifs et aux infrastructures d’énergies renouvelables.
Cette avancée met en lumière le rôle de l’IA comme outil de découverte, et pas seulement comme levier de productivité. En accélérant la science des matériaux, l’IA ouvre la voie à une vague d’innovations qui pourraient résoudre certains des plus grands défis techniques de l’humanité. La prochaine génération de technologies pourrait littéralement reposer sur des matériaux que l’esprit humain n’aurait jamais imaginés sans l’IA.
2025-06-11 : Un bois qui ne brûle pas et qui ne pourrit pas.
1. 2025-05-31 : Un matériau conçu pour une utilisation en milieu marin, capable de résister durablement aux environnements des océans, des golfes ou des mers. Ce matériau conserverait son aspect neuf et sa couleur d’origine sans accumulation biologique (biofouling), en empêchant l’adhésion des végétaux et des organismes marins. Il resterait chimiquement inerte et n’interagirait pas avec les écosystèmes aquatiques. De plus, il présenterait des propriétés anti-adhésives permanentes.
2. 2025-05-31 : Les matériaux de construction seraient très intéressants s’ils apparaissaient grâce à une imprimante 3D. Ils pourraient être agrandis avec une imprimante 3D.
3. 2025-05-25 : Nous souhaitons créer des outils permettant de concevoir et de découvrir de nouveaux matériaux au bout des doigts (comme on dit en anglais at your fingertips), un peu comme un ChatGPT, mais dédié à la recherche et au développement de matériaux. La seule limite : ces matériaux ne doivent ni nuire à l’être humain, ni produire de substances toxiques.
Ce modèle d’intelligence artificielle (type LLM, comme ChatGPT) devra également proposer des méthodes de production de matériaux de haute qualité, peu coûteuses et faciles à mettre en œuvre. L’outil pourra aller jusqu’à l’analyse des molécules et de leurs signatures.
Ici, à l’IRMCQ, nous voulons diviser ce travail en plusieurs secteurs : les outils (comme l’intelligence artificielle), les matériaux eux-mêmes, la qualité, ainsi que la forme et l’impact environnemental — avec pour exigence qu’ils ne soient ni toxiques, ni polluants.
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